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Les maladies à Madagascar

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À Mada­gas­car, il y a aus­si des mau­vais comme de bonnes choses que vous pou­vez ren­con­trer en explo­rant les lieux. Comme dans tous les autres pays, dans la Grande île, les rai­sons qui peuvent cau­ser les mala­dies sont vrai­ment vastes et nom­breuses. D’après nos recherches, les mala­dies trans­mis­sibles et infec­tieuses s’affichent par­mi les pre­miers qui causent la mor­bi­di­té ain­si qu’à la mor­ta­li­té des per­sonnes infec­tées dans les pays du conti­nent afri­cain comme à Mada­gas­car. Pour notre cas, on va vous dévoi­ler quelques exemples de mala­dies trans­mis­sibles par des insectes que vous devez connaître avant de vous lan­cer dans l’exploration de la Grande île.

Le Chikungunya

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Le Chi­kun­gu­nya est une mala­die que vous pou­vez ren­con­trer dans le monde entier, mais on peut le trou­ver plus fré­quem­ment en Afrique, en Indo­né­sie et en Inde. Il s’agit d’une mala­die virale qui se trans­met par une piqûre d’un mous­tique femelle du genre Aedes. Géné­ra­le­ment, contrai­re­ment à la plu­part des mous­tiques, ce der­nier pique dans la jour­née.

Les symp­tômes : fré­quem­ment, elle se pré­sente sous forme de fièvre bru­tale avec un syn­drome grip­pal. Aus­si, des dou­leurs arti­cu­laires, des maux de tête, des érup­tions ou encore des fris­sons peuvent se pré­sen­ter comme signe de cette mala­die. Sou­vent, il se trouve que des dou­leurs arti­cu­laires per­sis­tantes et inva­li­dantes peuvent aus­si arri­ver au patient. En tous cas, ces symp­tômes men­tion­nés ci-des­sus ne peuvent pas être les seuls signes afin de recon­naître la mala­die, mais le mieux à faire c’est de consul­ter votre méde­cin.

Les moyens de pré­ven­tions : Pour se pro­té­ger des piqûres des insectes, comme les mous­tiques, il est plus que recom­man­dé de faire usage d’un répul­sif cuta­né. Aus­si, vous pou­vez uti­li­ser des mous­ti­quaires de lit impré­gnées d’insecticides en bon état, des dif­fu­seurs élec­triques, des bombes insec­ti­cides et bien d’autres encore. Mais s’il se trouve que vous ne sup­por­tez pas l’odeur de ces exemples ci-des­sus, le mieux pour vous est d’éviter les zones d’eau stag­nante en entre­te­nant les jar­dins et les bas­sins et sur­tout en vidant les cou­pelles.

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La fièvre de la vallée du Rift

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La fièvre de la val­lée du Rift est une mala­die virale du genre Phle­bo­vi­rus. À la plu­part des cas, elle ne touche que les ani­maux, mais elle peut aus­si conta­mi­ner l’homme. Cela se fait, sou­vent, par un contact direct d’une per­sonne avec des organes ou du sang d’un ani­mal conta­mi­né. Aus­si, elle peut se trans­mettre par des piqûres de mous­tiques de diverses espèces et sur­tout par la consom­ma­tion du lait cru ou non pas­teu­ri­sé de la vache qui est conta­mi­né.

Les symp­tômes : Pour les formes modé­rées, les symp­tômes peuvent se pré­sen­ter sous forme d’un syn­drome grip­pal tels que les dou­leurs arti­cu­laires, les maux de tête et aus­si de la fièvre. À la plu­part des cas, une per­sonne conta­mi­née peut avoir une perte d’appétit et sen­tir une rai­deur de la nuque. Aus­si, le vomis­se­ment peut appa­raître chez les per­sonnes symp­to­ma­tiques. Mais, au pire des cas, pour les formes graves, des com­pli­ca­tions neu­ro­lo­giques, ocu­laires et hémor­ra­giques peuvent appa­raître.

Les moyens de pré­ven­tions : Pour pré­ve­nir ce genre de mala­die, vous pou­vez juste évi­ter la consom­ma­tion des viandes crues et du lait non pas­teu­ri­sé. Aus­si, il est for­te­ment décon­seillé de prendre contact avec des ani­maux inuti­le­ment. Comme cette mala­die peut être trans­mise par des éven­tua­li­tés piqûres de mous­tiques, il est plus que recom­man­dé de se pro­té­ger contre ces bes­tioles. Pour ce faire, vous pou­vez lut­ter contre les larves et les mous­tiques adultes en vidant les diverses cou­pelles et en évi­tant les zones d’eau stag­nante. D’autant plus, vous pou­vez faire usage de dif­fé­rentes pro­tec­tions comme des mous­ti­quaires, des répul­sifs cuta­nés et bien d’autres encore.

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Le Paludisme

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Comme vous le connais­siez bien, le palu­disme est une mala­die para­si­taire de type plas­mo­dium. Elle se trans­met par la piqûre d’un mous­tique femelle du genre Ano­phèle qui est infec­tée. En géné­ral, cette espèce de mous­tique pique entre le cré­pus­cule et le petit matin. À titre infor­ma­tif, il existe quatre types de palu­disme qui peut conta­mi­ner les hommes, tels que le « Plas­mo­dium vivaux », le « Plas­mo­dium fal­ci­pa­rum », le « Plas­mo­dium ovale » et le « Plas­mo­dium mala­ria ». Il se trouve que les Plas­mo­diums vivaux et fal­ci­pa­rum sont les plus répan­dus alors que le Plas­mo­dium fal­ci­pa­rum est le plus mor­telle des quatre.

Les symp­tômes : Pour les formes modé­rées, la mala­die peut se pré­sen­ter sous forme d’un syn­drome grip­pal avec une fièvre accom­pa­gnée de maux de tête. Il se peut aus­si que de vomis­se­ments, des dou­leurs mus­cu­laires et des malaises puissent se pré­sen­ter comme signe de cette mala­die. Mais pour les formes graves, cela peut varier en fonc­tion de l’espèce du para­site (signe vis­cé­ral ou neu­ro­lo­gique). Tou­te­fois, cette mala­die peut être mor­telle si la per­sonne infec­tée ne se soigne pas dans le plus bref délai.

Les moyens de pré­ven­tions : en consi­dé­rant plu­sieurs niveaux de trans­mis­sion de cette mala­die, il est plus que recom­man­dé de consul­ter un méde­cin afin d’envisager la meilleure pro­phy­laxie anti­pa­lu­dique à prendre. Il est impor­tant de savoir que n’importe quel moyen pré­ven­tif ne peut assu­rer à lui seul la lutte contre le palu­disme. De ce fait, la néces­si­té d’une obser­vance simul­ta­née en vue d’une pro­tec­tion contre les éven­tua­li­tés piqûres de mous­tiques asso­ciée à la chi­mio­pro­phy­laxie s’avère indis­pen­sable. Pour ce faire, vous pou­vez faire usage d’un répul­sif cuta­né, des mous­ti­quaires et bien d’autres encore. Aus­si, il est impor­tant de lut­ter contre les mous­tiques adultes et les larves en vous éloi­gnant ou éli­mi­nant les flancs d’eau. Mais au cas où une per­sonne pré­sente un cer­tain signe cli­nique inha­bi­tuel, il est for­te­ment conseillé de consul­ter un méde­cin afin d’avoir une prise en charge pré­coce.

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