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Quels sont les plats et recette typique de Antarctique ?

Antarctique

Image tirée sur Internet

Sachez que l’Antarctique est presque recou­vert par les glaces. En effet, 98 % du conti­nent est enva­hi par de couche de glace pro­fonde. Se trou­vant autour du pôle Sud, elle est entou­rée par l’o­céan astral. La limite nord de ce der­nier est fixée sur la 60ème paral­lèle sud. Connu comme étant le seul conti­nent, l’An­tarc­tique se mani­feste dans le monde par un ensemble de 220 mine­rais rare.

La pêche est la source prin­ci­pale de la gas­tro­no­mie de l’An­tarc­tique. De ce fait, les spé­cia­li­tés tra­di­tion­nelles du pays tournent autour des ani­maux aqua­tiques. Dans cer­taines régions, cer­taines per­sonnes mangent les bouillies de pois­son séché. Les Inuits mangent aus­si la viande de baleine de façon steak, sai­gnante et tendre. Mais encore, le du filet de baleine fumé est man­geable, mais très rare­ment à cause de leur extinc­tion immi­nente. Le goût est per­çu entre un thon cru ou bœuf cru et celui du hareng fumé. Il est conseiller de le pré­pa­rer de manière car­pac­cio. Puis bien le macé­rer dans l’huile, le citron et les aro­mates.

Misirak

Le Misi­rak est de la graisse de phoque vieillie au fil du temps. Il peut aus­si se faire avec de la viande de bélu­ga. Géné­ra­le­ment, on le laisse fer­men­ter dans un gros réci­pient pen­dant un moment. Le gras se détache et le solide se dépose au fond du réci­pient. On pour­rait alors col­lec­ter l’huile res­tante qui répand une très bonne odeur. C’est le misi­rak. Chaque plat à base de celui-ci a un goût pro­non­cé.

Mattaq (ou Muktuk)

Le Mat­taq est un des plats le plus consom­mé d’An­tarc­tique. Il est géné­ra­le­ment fabri­qué grâce à la peau de la baleine boréale et de ses lards. Néan­moins, on peut aus­si le faire avec du bélu­ga ou du nar­val. Il se mange avec de la salade ou même cru. Une fois la bête dépe­cée, ils se mangent cru ou sèche. Les experts en nutri­tions décon­seillent sa consom­ma­tion, sur­tout chez la femme enceinte et les enfants. Le taux de Mer­cure à l’in­té­rieur de la baleine est très éle­vé.

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Image venant d’In­ter­net

Suaasat

En Groen­land, le suaa­sat est leur marque gas­tro­no­mique. C’est un plat natio­nal qui est le résul­tat de la com­bi­nai­son de viande de phoque bouillie, des oignons et du riz qui don­ne­ra nais­sance à une soupe dont le goût est très proche de celui du pois­son.

Igunaq

C’est un des plats les plus esti­més au pôle Nord, mais aus­si une grande spé­cia­li­té groen­lan­daise. Il est à base de mor­ceau de viande tel que le morse ou encore, de phoque (pui­si). l’I­gu­naq se fabrique en fai­sant enrou­ler la viande dans de la graisse ani­male pour l’en­fer­mé ensuite dans une poche de peau issue de la bête elle-même. Après, il faut le mettre dehors durant plu­sieurs mois pour que le fai­san­dage soit excellent. C’est très gras, car quand on vit dans le très grand froid, la graisse n’est pas un luxe, c’est une néces­si­té pour sur­vivre.

Kiviaq

C’est un plat très rare à base d’oi­seaux marins entiers. Tout d’a­bord, il fau­dra cap­tu­rer les oiseaux, les net­toyés et les pla­cer à l’intérieur d’une peau de phoque. Ensuite, on les laisse fer­men­ter au bout de six mois. Il est à noter que ses oiseaux ne sont ni vidés ni déplu­més. On les déguste crus, en ôtant ses plumes et sa peau. Les Inuits affirment que le jus de l’animal à un arrière-goût de noi­sette. Mais pour le goû­ter, on doit arra­cher leur tête.