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Quels sont les plats et recette typique de Biélorussie ?

Les grandes vacances sont pour bien­tôt et c’est aus­si meilleur moment pour décou­vrir d’autres pays tels que la Bié­lo­rus­sie, sur­tout de juin à août. La tem­pé­ra­ture est excel­lente pour un petit séjour d’une semaine puisque qu’elle est douce toute la jour­née.
Située en Europe cen­trale, la Bié­lo­rus­sie est un pays en pleine crise migra­toire. Néan­moins, les patriotes et les fidèles à la leur pays mère ne se laissent pas influen­cé par les autres cultures. Par­mi ces der­niers, on peut consta­ter que les cui­sines emblé­ma­tiques du pays sont sans épices et que la plu­part subissent des trai­te­ments ther­miques. Savez-vous que les Bié­lo­russes uti­lisent beau­coup de pommes de terre et dif­fé­rentes sortes de sau­cis­sons et de cham­pi­gnons dans leur plat ? Ils adorent cela même au point de les inté­grer dans leurs repas tra­di­tion­nels.

Dranikis

Ce plat très appré­cié et connu est le syno­nyme de galettes de pommes de terre à Bié­lo­rus­sie. Il se mange lors du petit-déjeu­ner et pen­dant qu’il est chaud avec de la crème fraîche. Notons qu’il est pos­sible de retrou­ver les mêmes recettes pour ce plat, mais chaque pays dis­pose de ses propres secrets de cui­sine. Le dra­ni­kis est un repas ras­sa­siant étant don­né que, de base, il est com­po­sé de farine, des œufs, de pomme de terre, d’oignons, et de viande. Les Bié­lo­russes sug­gèrent que ce plat est accom­pa­gné par des tranches de concombre et quelques cibou­lettes.

Bortsch froid

Le bortsch froid ou « cho­lod­nik » en bié­lo­russe, est un plat pour le déjeu­ner, dans le pays. Il est com­po­sé de kéfir (ou kwas) à la bet­te­rave et il se déguste sur­tout en été. Il pour­rait être ser­vi avec de la crème fraîche gar­nie d’œufs durs et des pommes de terre. D’habitude, ce plat est accom­pa­gné par des tranches de concombre et quelques cibou­lettes.

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Machanka

Le Machan­ka est consi­dé­ré comme un plat prin­ci­pal ou plat de résis­tance. Il peut être cui­si­né soit à base de lait soit à base de viande (jam­bon, du sau­cis­son, lard…).

  • S’il est cuit à base de viande, il est pos­sible d’utiliser tout type de viande tel que le bœuf ou le porc. Pour ce faire, on y ajoute une sauce à base de farine, d’eau, d’oignon, de quelques cham­pi­gnons ain­si que des fenouils. Géné­ra­le­ment, il est ser­vi accom­pa­gné de crêpes, de pommes de terre, ou même de choux.
  • Si il est pré­pa­ré à base de lait, on mélange le fro­mage blanc avec du lait et de la crème. Ensuite, on y ajoute les pommes de terre, les oignons, les fenouils et le cumin.

Varenikis (Varenyky)

Varenyky
Image tirée sur Inter­net

Les “vari­ni­ki” ou vare­ni­kis res­sem­ble­raient presque aux ravio­lis, mais en plus gros. Il existe de nom­breuses bases de vari­ni­ki tels que les farines de blé et semoule, far­cis de fro­mage, aux cham­pi­gnons, aux hari­cots, à la confi­ture et plu­sieurs autres encore. Ils sont géné­ra­le­ment ser­vis accom­pa­gnés de lar­dons, de crème fraîche ou de beurre.

Kaldouni

Le kal­dou­ni est aus­si connu sous le pseu­do­nyme « sor­cier ». Il y a deux sortes de kal­dou­ni : le pre­mier est à base de farine avec de l’eau, de l’huile et des œufs et le second res­semble aux far­cis de porc. C’est un plat pas­sé par­tout puisqu’il peut être ser­vi en tant que plat prin­ci­pal, des­sert ou goû­ter, mais cela dépend de la farce.

L’eau de bouleau

Comme son nom l’indique, c’est du jus pro­ve­nant de la sève de bou­leau. Elle est récol­tée par entaille sur les troncs d’arbre. Autre­fois, l’eau de bou­leau était bue sans trans­for­ma­tion. On col­lec­tait direc­te­ment l’eau sor­tie de l’arbre et on le buvait cru. A l’époque, cette bois­son avait le même valeur que les liqueurs spi­ri­tueuses et les vins dans de nom­breux pays.

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